50 ans SDS : Daniel Ambrosino, une vie dans la réparation

Daniel Ambrosino

Quand on parle de passion et de fidélité dans le monde de la pièce détachée, le parcours de Daniel Ambrosino en est un parfait exemple. Pendant plus de 22 ans, à la tête de DPE Bayonne, il a fait confiance à SDS, son fournisseur de toujours, pour l’accompagner dans son activité. Retour sur une carrière inspirante et une relation professionnelle bâtie sur la confiance et la simplicité.

Se lancer avec SDS comme allié

Avant de se lancer à son compte, Daniel a fait ses armes dans le service après-vente de l’enseigne But. Son rôle : commander et gérer les pièces pour assurer le bon fonctionnement du SAV. Une expérience qui lui permet d’acquérir une expertise précieuse et de tisser ses premiers liens avec Distribution Services, qui fournit déjà les magasins en pièces et accessoires.

En 1998, il fait le grand saut : il quitte But pour monter sa propre entreprise, DPE Bayonne. DS joue un rôle majeur dans cette transition. « J’ai parlé au commercial, à la direction, ils m’ont aidé à démarrer », raconte-t-il. SDS lui accorde ainsi des conditions de paiement adaptées, un vrai coup de pouce pour constituer son stock initial et lancer son activité sereinement.

DPE Bayonne : un acteur incontournable de la réparation

Pendant 22 ans, Daniel dirige DPE Bayonne avec une ligne claire : pièces détachées et réparations uniquement. Il élargit son expertise aux accessoires pour antennes, à la HiFi, ainsi que dans les pièces pour le brun et le blanc, attirant rapidement une clientèle variée, des particuliers mais aussi des enseignes comme Darty, Conforama et But, qui lui envoient leurs clients hors garantie.

La relation avec SDS se poursuit. Ce qui a convaincu Daniel ? Un contact direct, fluide et efficace. « Dès que j’avais un problème, j’appelais, j’avais les numéros directs, accès à la direction. On se comprenait tout de suite », se souvient-il. Il se rend même à plusieurs reprises chez SDS pour entretenir ces liens. Autre point fort : la visite mensuelle du représentant, notamment pour récupérer les pièces non utilisées.

De la microfiche à l’informatique

En deux décennies, le secteur a bien changé. Daniel a été témoin et acteur de ces mutations, notamment avec l’arrivée de l’informatique. « J’ai été le premier à adopter et tester le système informatique de SDS », rappelle-t-il. Finies les microfiches ! SDS et lui ont avancé ensemble, adaptant leurs outils et leurs méthodes de travail.

En 2020, entre les deux vagues du Covid, Daniel tourne la page et revend son entreprise. Il quitte Bayonne pour Dax où il savoure aujourd’hui une nouvelle liberté. « Je travaillais du lundi au samedi, j’ai beaucoup aimé mon travail. Mais maintenant, je fais ce que je veux, je me lève quand je veux, je me promène… »

Mais une chose est sûre : SDS restera toujours une entreprise spéciale pour lui. Et l’inverse est tout aussi vrai !

Découvrir 50 ans d’histoire de SDS